Le jeu ne fait que commencer (PV Gregory P.)

Allo le central, c'est l'inspecteur Stenford, je suis à la poursuite d'un dealer sur Madison Avenue, envoyez des renforts
Très bien Inspecteur.....Ici le central, toutes les voitures non loin de Madison Avenue sont priées de s'y rendre immédiatement pour la poursuite d'un dealer dangereux.

En entendant ces derniers, un sourire s'afficha sur mon visage, je ne pensais pas qu'il était si dangereux que ça, à mon avis un nouveau petit dealer qui voulait simplement se faire un peu d'argent et rien de plus mais bon il est vrai aussi que tout ça pouvait rapidement tourner autrement surtout avec cette nouvelle drogue qui circule. Encore une saloperie de merde qui n'a rien à faire dans les rues de New-York, mais surtout une saloperie faite et vendu par l'Intuition Sociéty. Enfin au moment ou je poursuivais le dealer, je ne savais pas encore de quoi il s'agissait mais très j'allais le savoir. Des collègues m'avaient rejoint, j'étais vraiment derrière lui prêt à lui rentrer dedans alors qu'un autre voiture se tenait à ses cotés prêt également à lui rentrer dedans pour le faire s'arrêter, en 10 minutes se fut le cas, la voiture était immobilisé et l'homme arrêtait, je vins à demander à un des agents présent d'aller le conduire au commissariat que j'arrivais de suite pour l'interroger qu'avant je devais fouiller la voiture ce que je fis. Il y avait une drôle d'odeur dans cette voiture, c'était vraiment horrible, on aurai pu croire qu'il y avait un cadavre à l'intérieur, mais après avoir fait le tour non il n'y avait pas grand chose à part un sac contenant des petites fioles remplit d'un liquide bleu, en un instant mon sang se mit à bouillir, je connaissais cette drogue pas que j'en prenne, oh non, mais je sais qui la fabrique et je compte bien le faire chuter, jamais je ne le laisserai faire surtout depuis qu'il m'a prit ma femme et mon fils, je sais très bien qu'il est responsable de tout ça et tant qu'il n'aura pas payé je ne retrouverai pas le repos.

Très vite, je vins à remonter dans ma voiture et prit rapidement la direction du commissariat, je ne voulais pas qu'un autre l'interroge, je voulais le faire moi même, en arrivant, je vins à regarder autour de moi avant de poser mon regard sur une salle au fond, le petit dealer y était, je vins à passer devant mon bureau et vint à y jeter ma veste avant d'entrer dans la salle, mon regard se posa directement sur l'homme, je le regardais depuis un moment avant qu'il ne lève les yeux, j'examinais le moindre de ses mouvements, la moindre petite faille qui pourrait me dire que j'avais gagné d'avance, je me doutais bien rien qu'en le voyant qu'il serait facile de lui faire cracher le morceau, je vins à m'installer face à lui et vins à me caler au fond de mon siège laissant toujours mon regard sur lui avant de souffler.

Bon, je vais pas aller par quatre chemin, tu me donnes de suite ton fournisseur et tout ton réseau
Mais Monsieur, c'est la première fois que je fais ça, je n'ai pas de réseau, je vous jure..
Arrêtes un peu, tu vas pas me dire que tu as trouvé ce sac dans la rue et que hop tu t'es dit que tu allais te faire du fric
Je vous jure que c'est la première fois
Bon stop c'est bon je ne suis pas sourd maintenant tu craches le morceau ou ça va vraiment mal finir si tout ce que tu me dis est juste, je ferai peut être un effort alors maintenant vas-y...
D'accord, c'est un scientifique qui me les a donné en disant d'aller le vendre
Un scientifique de où ?
De la nouvelle société la IS...

Je vins à sourire j'avais ce que je voulais, je vins à me lever et ouvris la porte avant de sortir de la salle

John, tu me prends ce gars et tu me le colle au trou mais seul
Oui Inspecteur

Je vins à retourner dans mon bureau, j'allais enfin le revoir, lui faire comprendre que je n'avais pas laisser tomber ce qui me tenait à cœur et il allait vite le comprendre. Je repris ma veste et vins à quitter mon bureau, je repris ma voiture et alla directement à la société, je connaissais le chemin par cœur, à force d'avoir fait des aller-retour parfois juste pour me montrer juste après la mort de Lola et de John ou alors que je faisais le piquer pour surveiller enfin, j'avais passé cette étape mais pas celle de me venger et de leur faire payer. Le parking de la société était pas tout à fait remplit et je vins à trouver une place facilement puis sans plus attendre je descendis de la voiture et vins à entrer directement dans la société, je tournais la tête pour regarder autour de moi avant de regarder la standardiste, elle avait l'air occupé ce qui me convenait parfaite, je pris l'ascenseur qui allait me conduire directement au bureau de Gregory Peacy, la pire des ordures pour moi, voilà j'étais devant son bureau, j'avais l'impression qu'il n'y avait personne du moins je n'entendais rien du tout et d'un coup j'ouvris la porte, je ne voyais personne pour le moment et vins à entrer dans le bureau regardant un peu autour de moi....

Invité

Après un bon travail, il fallait toujours un bon café. Gregory le savait, et il n'hésitait pas à l'appliquer. N'allez pas lui dire que son patron ne serait pas content. Car en temps que son propre patron, il se permettait ce qu'il voulait. Sans oublier son devoir. Il ne fallait pas l'oublier. Ça aussi, il le savait. Alors entre deux tasses, il classait méthodiquement tout ce petit monde qui s'entassait sur son bureau. Il constatait que son arme se répendait de plus en plus. Cette drogue, elle attirait de plus en plus de gens. Les dealers étaient à présent embauchés par dizaines. Et ces crétins de flics ne voyaient pas. Certes, il leur arrivait de trouver une piste. Mais ce qui coinçait, c'était leur moyen de la remonter. Quoi de plus indiscret que d'aller directement chez le présumé patron pour mettre les faits sur la table comme ça ? Des naïfs. Néanmoins, le jeune homme ne les sous-estimait pas. Tuer cette femme et son fils, c'était sa plus grande erreur. À présent, ce policier le collait plus qu'un autre. Je le déteste.

Il s'était levé pour ranger quelques documents. Jusqu'à ce qu'il entende la porte grincer et s'ouvrir doucement. Quand on parle du loup. Ethan était ici. Dans son bureau. C'est qu'à force, il connait le chemin par coeur. Avant de se présenter comme un bon directeur, il réfléchissait. À son avis, on n'était pas venu lui apporter le journal, ni même lui passer un " bonjour " amical pour prendre des nouvelles. Heureusement qu'il avait planqué l'échantillon de la drogue que son ennemi détestait tant. Gregory était d'humeur machiavelique. Jouer avec les sentiments de cet homme en lui rappelant à quel point la perte de deux membres de sa famille avait été dure. Ainsi, il pensait dériver la conversation pour que finalement ce policier se mette en colère et parte, oubliant la raison de sa venue.

On lui lança sous la porte un papier fraichement imprimé.
" Monsieur le directeur,
Nous savons à présent de source sûre que ce matin ils ont coincé un de nos employés. Un dealer que nous avions récemment employé pour exporter notre produit chimique. Il ne savait rien de comprométant, mais nous aurons sûrement la visite de quelque agent de police. Il faut faire comme d'habitude, monsieur, démentir. Après tout ils n'ont aucune preuve. Au-cu-ne.

Bonne chance.
P.S. : Brûlez cette feuille dès que vous l'aurez reçue. "

C'était donc ça, la raison de la visite soudaine d'Éthan. Sans s'attarder, Gregory alluma discrètement un briquet et tendit la feuille au dessus d'une poubelle spécialisée dans les cendres de papiers de ce genre. La combustion fut rapide. Il ne conservait que les documents qui conscernaient le faux-but de la société mais le plus souvent ils étaient dotés d'un double sens. En effet, la société avait inventé un langage que personne d'autre ne comprendrait. Risqué ? L'hésitation, on n'avait plus le temps de l'avoir. Il fallait agir. Tout de suite. Car la suite des évènements ne laissait pas de temps pour réfléchir. Le temps va trop vite.

Éthan Stenford avait suffisement attendu. Le patron à la double-casquette s'avança vers lui, l'air de rien. Il savait mieux de maitriser que l'autre, et ne montrait pas réellement sa haine. Lui ne voulait pas se venger, c'était sûrement pour cette raison.

" Bonjour " commença-t-il.

Je venais d'arriver dans le bureau de ce Gregory Peacy, un être ignoble pour ma part, un homme qui ne se prive pas de coucher avec n'importe quelle femme dont la mienne pour après la tuer et tuer par la même occasion un être qui ne demandait qu'à vivre, je ne peux pas vous dire à quel point je le déteste, il me fait horreur mais je dois bien dire qu'il cache bien son jeu, à toujours vouloir faire propre devant n'importe quelle situation et encore plus le soit disant mari dévoué à sa femme, si la jeune femme savait comment il est vraiment peut être elle ne serait pas là ou alors elle le couvre ce qui est possible surtout ici... Je regardais partout dans le bureau, cherchant le moindre indice, mais rien comme toujours, il savait très bien cacher tout ce qui pourrai le trahir, enfin pour le moment je ne voyais personne mais je me doutais bien qu'il allait très vite savoir que j'étais là si ce n'était pas déjà le cas de toute façon j'allais très vite le savoir et ce que je pensais arriva très vite, d'un coup j'entendis un bonjour, la vois m'était très familière à force de le voir et de l'entendre pour les enquêtes ou autres. Je vins à me retourner pour le regarder; il était toujours pareil, il ne changeait pas, toujours imprévisible....

Mr Peacy...

Je continuais de le regarder, le suivant même du regard alors qu'il marchait, plus je le regardais, plus je pensais sentir en moi la haine montée, il était si facile de le détester, lui qui faisait tout pour être l'homme parfait en tout, peut être qui si tout ne se serai pas passé comme ça, tout ça serai différent mais maintenant ça n'arrivera jamais et puis avec des si ne refait-on pas le monde...

J'aurai des questions à vous poser concernant un de vos scientifiques qui fournirait des petits dealers d'un produit appelé le BlueBurrey

Mon regard resta un long moment sur lui avant de regarder autour de moi, je n'avais pas du coup confiance en cet homme et je m'attendais à ce qu'il fasse quelque chose, même si je pouvais me tromper mais mon instinct me disait le contraire, à croire qu'avec cet homme tout était bien étrange mais j'allais très vite savoir ce que je voulais du moins je l'espérais...

Un homme que nous avons arrêté nous a certifié que la drogue qu'il revendait avait été fournit par votre société, j'aimerai donc voir tout les scientifiques qui travaillaient cette nuit ou avoir la liste complète

Je savais que ça n'allait pas être si simple surtout sans ordre du juge ce qui n'allait pas me donner sans preuve.....

Invité

Ethan, Stenford de son nom, n'avait pas changé. La même tête que son fils.

" Mr Peacy... " me lançait cette voie glaciale.

Je n'ignorais pas les raisons de son hostilité envers moi. Cela m'amusait de voir à quel point il pouvait me détester. J'étais le meurtrier de deux personnes qu'il aimait plus que tout, c'était tout à fait normal. En plus de tout ça, il ne pouvait pas me faire payer car il n'avait aucune preuve pour convaincre les autres. Alors il était condamné à vivre sans pouvoir se venger. Douloureux. Moi ? Je n'étais pas dans le même cas, je ne pleurais pas mon père. J'étais son meurtrier. S'il m'avait considéré comme je le voulais depuis le début, il n'aurait pas eu à subir ça. Moi, trop impulsif ? Je me contentais de faire ce qu'il fallait, on ne devrait pas m'en vouloir.

Ses yeux, il disaient beaucoup plus que ce que cet homme pouvait l'imaginer. Et c'était pareil à chaque fois qu'il me fixait.

" J'aurai des questions à vous poser concernant un de vos scientifiques qui fournirait des petits dealers d'un produit appelé le BlueBurrey. "

Il s'arrêta le temps de jeter un rapide coup d'oeil à ma réaction. Je ne faisais rien, me contentant d'imaginer une possible solution à ce problème plus ou moins embrassant. Si on ne m'avais pas averti avant, j'aurais cru à une mauvaise blague. Une très mauvaise. Mais n'était-ce pas ce par quoi j'allais te répondre ? Je me baignais dans les mensonges depuis ma tendre enfance, je maitrisais le sujet. C'était comme ça, dans les affaires. Lorsque l'on voulait accomplir quelque chose, il fallait passer par tous les chemins. Parfois, il n'y avait qu'un seul choix. Et ce choix, je l'avais pris depuis longtemps.

" Un homme que nous avons arrêté nous a certifié que la drogue qu'il revendait avait été fournit par votre société, j'aimerai donc voir tout les scientifiques qui travaillaient cette nuit ou avoir la liste complète. "

Embêtant. Il ne laissait vraiment pas tomber cette fiole bleue. Ce papier avait raison, il avait réellement une raison de venir ici. Un instant pour réfléchir, juste un. Avait-il réellement le droit de me demander la liste de mes scientifiques comme ça sans aucun papier ? Rien ne l'en empêchait. Ils étaient répartis à plusieurs endroit et la plupart n'était même pas sur la liste officielle des employés. Le plus souvent, ils prenaient un autre job pour camoufler leur trace. Et devine quoi, Ethan, il y en a même parmis tes copains. Je pouvais aussi prétendre que ce dealer avait peut-être bu, ou qu'il était un ennemi de la société. D'où le fait qu'il nous accuse. Oui, une personne que nous n'aurions pas accepté à Intuition Society. Une personne désireuse de se venger et de nous en faire baver avec la justice. Mon histoire tenait-elle debout ? Je le saurais lorsque ce sera ma seule solution. Pouvais-je pour le moment prétendre que personne n'était dans nos locaux la nuit ? Ça aussi, je le saurais.

" De quel droit vous accusez-nous de telles choses ? Nous sommes une organisation dont le but est d'aider New York, pas de vendre de la drogue. "

Et tu repartiras les mains vides. Je ne pouvais pas lui donner accès à mes fichiers comme ça. Je n'avais aucune raison de le faire.

" Je sais que depuis la mort tragique de votre femme, vous courrez après les excuses pour m'arrêter, mais ne venez pas comme ça sans aucune preuve. "

Comment vas-tu réagir, Ethan ?

Je regardais l'homme face à moi qu'est-ce qu'il pouvait m'énerver avec ses airs supérieurs, j'avais la vague impression qu'il avait été prévenu de mon arrivée avant que je sois dans ses locaux et qu'il avait eu le temps de mettre tout en oeuvre pour paraître bien peut-être me trompais-je, je ne pouvais en dire plus. Je venais de lui parler de l'arrestation du dealer et de l'accusation qu'il y avait sur lui ou du moins sur la société car sur lui je n'avais aucunes preuves et je n'étais pas du genre à en inventer une pour le mettre en prison, j'étais assez intègre la dessus. Quand il vint à me demander de quels droit je l'accusais, je vins à sourire le regardant dans les yeux, comme si j'allais le croire que sa société était intègre et qu'elle ne faisait que du bien mais très vite mon regard changea et devint sombre, je perdis le sourire, comment pouvait-il parler d'elle comme si de rien de n'était alors qu'il est le responsable de tout ça et même de plus en ayant coucher avec elle. Mon regard était toujours sur lui, je sentais que s'il venait à continuer comme ça j'allais m'énerver plus mais il ne fallait pas que ça se passe comme ça, il fallait que je reste calme ce qui était assez dur comme ça....

Je vous accuse de ce qu'on vous accuse et vous me faites bien rire, je sais très bien que votre société est loin d'être intègre comme vous le dites tout comme vous...

Je vins à tourner la tête en entendant du bruit puis je vins à refaire face à l'homme qui pour moi était le meurtrier de ma femme et mon fils même s'il n'avait peut-être pas tiré lui même, il en était le commanditaire.

Des preuves qui vous dit que j'en ai pas, et ne parlez pas d'elle, vous savez très bien que vous êtes responsable de leur mort sans compter que vous avez réussit à la séduire pour la mettre dans votre lit, oui vous voyez même ça je le sais, elle a laissé un journal....

Je continuais de le fixer sans rien faire de plus, à ce moment précis j'aurais pu le tuer sur place je l'aurai déjà fait mais j'avais appris à force d'enquêter de rester maître de la situation du moins pour le moment car là je savais très bien que je pouvais déborder à tout moment.

Maintenant je veux voir la liste des scientifiques qui travailler cette nuit et sans oublier un nom S'il vous plait.

Le s'il vous plait je fis exprès de l'accentuer tout en le regardant dans les yeux, je me demandais ce qu'allait me réserver la suite...